La récente resectorisation des zones scolaires autour du collège de Marcheprime continue de susciter des interrogations et des réactions . Selon un article publié jeudi dernier par La Dépêche du Bassin, cette réorganisation a conduit à des conséquences marquantes, notamment un déséquilibre d’occupation entre les établissements voisins.
Le collège de Marcheprime, autrefois un pilier éducatif pour de nombreuses familles de la région, aurait perdu près de 50 % de ses effectifs à la suite de cette décision. Une situation qui soulève des questions sur l’impact de cette restructuration sur les élèves, les enseignants et la vie locale.
Paradoxalement, le nouveau collège du Barp, pourtant récemment ouvert et conçu pour répondre à la croissance démographique de la région, est déjà rempli à 95 % de sa capacité, selon le même article. Cette saturation soulève des inquiétudes quant aux conditions d’apprentissage, à la qualité de l’encadrement et à la gestion à long terme des flux d’élèves dans le secteur.